todo liste sans liste

Aujourd’hui le boucher ne se réveille pas pourquoi ?

Cette nuit il a fait la fête et ne se réveillant pas les clients mécontents partirent chez un autre boucher, notre ami le boucher embarrassé ne sachant quoi faire, montant dans sa petite voiture rouge il partit chez son ami le boulanger pour qu’il puisse l’aider. Son ami lui expliqua à toute volé son idée pour l’aider, pour le remercier le boucher l’aida à terminer son travail et ensuite il partit s’excuser envers les clients mécontents. Les clients le pardonnant vinrent tout de suite à sa boucherie pour acheter un morceau de viande ou un plat préparé avec ses soins de boucher expérimenter qui n’attendes juste qu’à être mis au four où ils vont griller tel des poulets braisés. Le boucher tout content et fier d’avoir résolu son problème appela ses amis pour fêter le problème résolu. Mais ce problème pourrait revenir si vous vous êtes souvenez du début.

le carnet de voyage de Marie-Christine

La Picanière

Voilà depuis un certain temps, je pense partir, mais où ? Bien sûr je me sens bien dans cette ferme, je connais chaque personne qui y travaille, les bêtes aussi je m’y suis attaché. Mais voilà j’ai envie de découvrir ce qui se passe un peu plus loin, de l’autre côté de la terre. C’est amusant mais c’est cette grande route en sortant de la ferme, toute rectiligne et sans fin, qui m’a donnée envie de partir. Voulez-vous m’accompagner ? Oui, c’est sûr, nous allons trouver une destination…

 

San Vito en Sicile

Voilà nous y sommes et nous sommes heureux. J’ouvre les yeux, nous sommes en Sicile. La mer, les montagnes, le bleu du ciel, le calme, tout est réuni pour y passer du bon temps. Ce lieu est reposant, propice à la méditation. On se sent tout petit, tout petit. Une envie de se poser, de ne rien faire, juste de regarder. Comment décrire ce paysage, ce ressenti que j’éprouve devant ce paysage, comment décrire son émotion en essayant de ne rien oublier et d’être le plus sincère possible. Une solution, peut être en le regardant avec des yeux nouveaux ?

Capri

Nous voilà arrivés à Capri tous dans ce superbe bateau. L’escale est tout aussi merveilleuse. Prendre son temps, même si nous avons qu’une heure devant nous avant que le bateau ne reparte. Et toujours ce calme, ses maisons accrochées au flanc de ces montagnes, ce ciel pure, ces oiseaux qui chantent. Rien de tel pour prendre un peu de recul et se ressourcer.

Hanoî, monument…Ho chi min

Oh là là, ou suis-je ? rien ne me plait ici, ni les paysages, ni les gens. Je ne me sens pas bien. Je ressens une impression bizarre, envie de partir, de retrouver les miens… Et c’est tant mieux.

Marie-Christine

la todo liste de Marie-Christine

Découvrir son village

Partir pour d’autres horizons

Admirer ses vieilles maisons d’autrefois

Se promener dans la rue

Penser à acheter mon bifteck

Supprimer la voiture rouge qui gâche un peu le paysage et sur laquelle le regard se pose en

premier.

Apprécier ce ciel tout bleu

Compter le nombre de cheminées

J’adore ce village, sa rue principale, ses maisons de briques et ses commerçants. Le calme y règne, on s’y sent bien. ..

le carnet de voyage d’Elyna

Départ de la Picaniere

2 jours plut tôt :

J’ai fait les bagages .Je pars en tourner !

Pourquoi ? Parce que !

Comment ça ce n’est pas une réponse ! Bon D’accord.

Je pars juste prendre des vacances. Tu sais admirer les montagnes,

…Changer d’airs !!! Et écrire de nouveau romans, BD,…

Changer de sujet et de personnages de styles .

2 jours plus tard :

Alors quel seras notre premier …

BOUM

Quesque …

BOUM

Ça vient de la !

BOUM

La maison en ruine mais que peut-il y avoir ? Mais il fait nuit noire d’encre.

Le lendemain :

Bon je ne me fais pas avoir cette fois !

BOUM, BOUM, …

Non pas encore

BOUM

Il doit y avoir une …une entré mais elle est toute petite et puis après tout c’est

Peut-être des illusions. Bon je rentre !

1 semaine après :

J’espère, …

BOUM

Bon cette fois ça vient du monument au, …

BOUM CRISSE

Et personne ne sus la fin de mon histoire !

Moi non plus d’ailleurs ! Mais je me souviens

De tout grâce à mon journal bord !

Elyna

la todo liste d’Elyna

– penser à aller dans un autre pays ( chaud ) .

– emmener le maillot et autres

– rapporter des choses pour la famille

– réfléchir au pays ou aller (Guadeloupe, Corse , …)

– découvrir de nouveau animaux

– ainsi que de nouvelle plantes

– écouter les légendes de la région

– comparer le paysage de là-bas à ici

-mais ne jamais oublier   Vouzon

Elyna

carnet de voyage d’Alex

Départ de La Picanière.

Samedi 1^er Avril, je parts de La Picanière.

Mais je ne sais pas où ?

J’ai senti une chaleur m’entourer et j’ai compris que Margo m’avais pris dans ses bras. Alors j’ai entendu des sons étranges dans mes oreilles :

• « Ne t’inquiètes pas, nous allons faire un beau voyage ».

La tonalité était si douce et rassurante que je n’ai pas cherché cette fois à m’enfuir.

Je me suis laissée porter dans les airs avant de me retrouver dans un panier confortable et parfait pour m’abandonner à mes ronronnements habituels de bien-être.

Après quelques ronrons tranquilles, j’ai sursauté à un grand claquement. Puis un second. J’ai senti des vibrations tout autour de moi et le paysage s’est mis à bouger dans tous les sens. J’ai miaulé très fort. Je voulais sortir de cet endroit où les arbres avançaient bizarrement.

• « Reste calme, et tout se passera bien ».

Margo était près de moi. Calmée, je me suis endormie étrangement si facilement. Je soupçonne Mago d’avoir mis quelque chose dans mon lait au champ du Coq.

Etape à Trapani, Sicile.

Le soleil chauffe mon poil. Mes moustaches sont en alerte. Je ne connais pas cette odeur. Il n’y a plus d’arbres qui dansent. Mes yeux sont éblouis mais je distingue des formes très hautes lointaines. Je veux avancer vers cette maison. Et puis non, je veux toucher de mes pattes cette grande flaque d’eau qui s’étend à l’horizon. Margo est là, je la vois.

– « Nous sommes à Trapani. Regarde la mer, c’est la Méditerranée. Derrière ce sont des montagnes, et derrière, loin derrière, il y a un volcan. »

Mes yeux sont éblouis plusieurs fois par des flashs lumineux. Je veux me cacher dans les bras de Margo mais je ne la vois plus. Alors je cours vers la grande flaque. Après trois lapements, je suis furieuse. La flaque a un gout de sel. J’ai soif. Je veux le lait onctueux et pleins de saveurs de Joséphine, la reine des vaches de la Picanière.

Etape sur la Marina Grande de Capri.

Je me lèche les babines. Je ronronne. J’aime cette odeur. Il doit y avoir des poissons dans les environs. Margo descend d’un immense bateau et une fois de plus, mes yeux se plissent. Les flashs sont de plus en plus fréquents. Il y a tant de monde dans cet endroit. Les sons sont différents, je ne comprends pas ces nouveaux mots. Je veux trouver d’où vient l’odeur alléchante. Je me faufile entre les pattes des individus au langage chantant. Je saute au-dessus de caisses, de bacs de filets, Je reçois un coup de torchon sur mon dos mais j’ai le bonheur d’avoir entre mes dents une sardine bien fraiche. Le ventre rempli, mes moustaches m’orientent vers Margo qui hurle mon nom.

Etape à Hanoï

Le soleil est encore si haut dans le ciel. Mes yeux ne veulent pas s’ouvrir. J’ai tant envie de ronronner et me pelotonner dans mon panier.

• « C’est l’effet du décalage horaire. Hanoï est de l’autre côté de notre planète. Tu es au pays du soleil levant et nous avons fini notre voyage » me murmure Margo.

Les flashs sont encore là.

Quelques jours plus tard, quelle surprise de voir mon image de chaton sur les panneaux publicitaires d’une célèbre agence de voyage.

 

Alex H.

carnet de voyage d’Alizée

Nous sommes le 1^er avril 2017 et aujourd’hui le début d’un long voyage se présente à moi. Un aller sans retour. Je m’évade de mon petit village natal. Pourquoi partir ? Je me le demande bien ? Peut-être pour pour m’évader de cette société, de tous problèmes, changer d’air. L’occasion rêvée d’être en harmonie avec la nature, cette nature si belle, si parfaite que l’être humain s’amuse de salir, de détruire. Parfois l’Homme peut se montrer tellement égoïste…

Je marche sur le bord de la route en observant les arbres verdoyants agiter leurs branches fleuris dans le vent. En entendant le chant des oiseaux migrant, je lève les yeux pour percevoir le ciel d’un bleu azur sans nuages, presque parfait.

Le 5 mars 2017 je prends le premier avion pour l’Italie, 1ere étape direction l’Italie, ce pays m’aura toujours fasciné peut-être pour leurs spécialités culinaires, leur carnaval, leurs ports de pêche à vrai dire je n’en sais rien. Tous ce que je sais c’est que je veux partir partir de mon pays, voyager loin…

 

carnet de voyage

La Picanière, Vouzon.

Julien s’arrêta au bord du chemin. Son regard s’attarda sur l’écriteau qui désignait l’entrée de la ferme de la Picaninière, et un grand souffle de liberté passa sur son esprit. Cet écriteau, il le voyait pour la dernière fois. C’en était fini pour toujours des odeurs de la ferme, du travail de la terre, de tout ce qui lui avait pesé pendant tant d’années. Il partait pour l’inconnu, la liberté. Et en regardant la départementale qui filait entre les bois, il eut le sentiment que le monde s’offrait à lui et qu’il vivait enfin, pour la première fois.

San Vito Lo Capo, Trapani, Sicile.

Une terre aride, des roches, des pierres, et la mer à gauche, jusqu’aux confins de l’horizon. Cette mer étale où se jouaient le bleu du ciel et le reflet des nuages portait tous les rêves d’un ailleurs lointain qu’il avait caressés dans son imagination, elle ouvrait devant lui les perspectives d’une immensité sans limites. Au-delà, il y avait d’autres continents, d’autres cultures, d’autres cieux. Il y avait l’aventure, il y avait le monde.

Capri, Marina Grande.

Le ferry attendait à quai, mais il ne partirait que dans une heure. Trois hommes, assis sur un banc, parlaient avec la volubilité coutumière aux Latins. Julien les écoutait, se laissant séduire par les accents de la langue. Il distinguait quelques mots appris aux hasards de ses pérégrinations italiennes. Il ne savait encore où il serait demain. Le voyage ne faisait que commencer, et il avait déjà hâte de repartir.

Hanoi, monument Ho Chi Min.

Il s’immobilisa en face du monument Ho Chi Min. C’était pour lui le bout de la route. Il n’y aurait plus de voyages, plus de destinations inconnues, plus de rêves ni de découvertes. Depuis quinze jours, il savait que le cancer ne lui laissait plus que quelques mois d’existence, et il s’apprêtait à les vivre au pays de l’opium.

 

Vouzon…

Première découverte de la Sologne, avec ses maisons de briques…

Rêve d’évasion, désir d’étangs, de layons envahis de fougères, de bois où soupire le vent…

Cette voiture rouge, au premier plan, me mènera vers des chemins inconnus, vers des errances où s’accompliront d’anciens songes de forêts et d’eau, en un temps emprisonné dans le béton des villes.

carnet de voyage

La Picanière – Vouzon

Fin de mon tour du village. Je pense avoir vu tout le monde maintenant.

Après avoir dit au revoir à Anne-Sophie et Jean-Pierre, je pars…

Ils ne me verront plus pour quelques temps avec mon panier en osier. Mes courses du jeudi attendront mon retour.

La route est longue, droite et plate. Ça commence plutôt bien car à vélo les côtes sont les plus dures à supporter.

Depuis le temps que je voulais le faire ce tour du monde à 2 roues. J’ai presque tout prévu mais j’aime aussi les surprises, que tout ne soit pas comme planifié.

Mon BAC en poche, je peux bien m’accorder une année sabbatique !

San Vito Lo Capo, Trapani, Sicilia

J’ai laissé mon vélo au cœur du village, c’est plus facile de se balader à pied. Les grosses pierres roulent sous mes chaussures de randonnée. Je n’imagine même pas ce que ça donnerait sous mes roues.

Je profite de cette matinée pour marcher vers le sud, visiter ces anciennes cabanes de pêcheurs qui malgré toutes ces années sentent encore le poisson séché.

Il fera chaud encore aujourd’hui, l’air marin balaye mes cheveux qui ont déjà beaucoup poussés. Ma mère serait folle de me voir ainsi : cheveux longs, barbe en broussaille…

Ma toilette quotidienne se fera dans cette eau fraiche sous le regard étonné de vieux pêcheurs qui baragouinent des paroles que je ne comprends pas.

Port de Capri, Marina Grande

C’est bientôt l’heure. Il y a déjà 4 personnes qui attendent. Ils font partie de ces touristes pressés qui sont là une heure avant et qui ne laisserait leur place pour rien au monde.

Finalement, il est bien ce nouveau job ! Les quelques euros gagnés me permettront de continuer mon périple.

J’ouvre enfin ma guérite, les 4 pressés arrivent, je leur vends 4 tickets pour la croisière. 

Puis le calme, plus personne, je sommeille un peu, le café coule lentement diffusant son odeur de caféine. Je sors de ma cabane pour le boire au soleil, assis sur un banc.

Soudain, un chat passe devant moi. Il marche tel un équilibriste sur cette ligne jaune ne la dépassant à aucun instant. Autour du cou, un médaillon où est inscrit « MA ». Est-il égaré ? A qui appartient-il ? D’où vient-il ?

Je dis « MA ». Il ou elle ronronne et prend place sur mes genoux m’apportant encore plus de chaleur que le soleil du matin.

Je resterais bien ici, Capri ce n’est pas fini !

Hanoi, monument Ho Chi Min, Vietnam

May-May a pris son ombrelle. Elle veut garder son teint pâle qui la rend plus européenne malgré ses yeux bridés. Quoi qu’il arrive, je l’aime comme elle est. Je lui prends la main et de l’autre je touche son ventre arrondi d’où sortira dans 2 mois le fruit de notre amour.

 

Rose